Une des techniques les plus répandues en SIG pour pouvoir traiter des données non spatiales est celle de la jointure. On utilise une couche géographique, possédant des géométries, comme support d’une autre couche ne possédant pas de données de localisation. Pour faire cela, on utilise un champ commun aux deux tables, qui permet de « joindre » les enregistrements de la table géographique à ceux de la table non géographique. On créé ainsi une nouvelle table virtuelle ou les attributs de la table non géographique peuvent être utilisés pour être cartographiés avec la géométrie de la première table. Pour que cette jointure marche il faut que pour un enregistrement de la table géographique on retrouve un enregistrement dans la table non géographique, ou qu’on n’en trouve pas. Car si l’on trouve plus d’un, la jointure ne peut pas marcher. On parle alors de « relation » entre les tables et non de « jointure ». Continuer la lecture de « Jointures 1-n dans QGis: les couches virtuelles »